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le Triskel en Chine - britani

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le Triskel en Chine

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LE TRISKEL EN CHINE !!

Nous savons que le Triskel représente la roue de la vie (naissance/vie/mort) assimilée au soleil qui se lève, qui brille au zénith et qui se couche (ou meurt).
On attribue, avec raison, le triskel aux "Celtes", (nous nous disons Bretons), mais nous en trouvons aussi en Chine http://www.afi.ouvaton.org/spip.php?article97 , et les scientifiques chinois ne donnent aucune explication.
Les Celto/Bretons se déplaçaient beaucoup, migraient, comme il l'on toujours fait, et pratiquaient donc les échanges. Le principal chemin de migration et de commerce partait du Moyen-Orient vers l'Europe, et retour. Pourquoi ce commerce ne se déplacait pas aussi vers l'Est, vers la Chine, en emmenant avec lui des idées philosophiques, technique... ?
L'âge du bronze s'étend de -3000 à -1000, en Europe, mais aussi on peut l'affirmer, en Chine, car dans la province de Jinsha, entre autre, (http://www.histoiredelantiquite.net/archeologie-chinoise/les-cultures-du-bronze-du-sichuan-sanxingdui-et-jinsha), on y a découvert des objets en bronze, très travaillés, datant d'avant -1200, en pleine période du bronze en Europe.
On peut donc être certain qu'il y avait, au cours de l'âge du bronze (-3000 à -1500) des échanges entre l'Europe, le Moyen-Orient et l'Asie. Le bronze chinois viendrait d'échanges avec la Mongolie vers -2000, mais la présence de ces représentations de triskel peut faire penser que des échanges avaient également lieu directement entre les Celto/Bretons. A cela nous rajouterons que quelques termes chinois liés à la médecine peuvent, phonétiquement, être traduits par les racines de notre langue bretonne (voir la page de notre site http://britani.fr/racines-des-livres.html ), et, de par les dires et découvertes de Philippe (voir ses traductions sur notre site aux pages "langues initiatiques" et "breton et christianisme"), conférencier sur la médecine chinoise, ces traductions sont très troublantes et "collent" avec le but du médicament ou du soin ! Nous avions donc de grandes connaissances en ce domaine et les échanges étaient aussi scientifiques.
N'oublions pas le voyage d'Undur Gueguen en Mongolie, vers l'an 840 après J.C (page 249 du livre V), où il devint le premier chef religieux.
Nous sommes loin des Bretons incultes, sans véritable langue, cantonnés au bout du monde, paiens et adorateur d'on ne sait quel dieu ou déesse et pratiquant sur des dolmens, des sacrifices humains dans les sombres forêts de Brocéliande. Nos druides avaient, depuis des millénaires, de grandes connaissances sur la médecine et nos artisants sur la technologie.
Tout cela confirme les dires de l'Oncle dans les livres d'Yvin de Kerguny.
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