le mot mère
Traductions
(Vous trouverez confirmation des traductions de racines en bas de la page "Nos livres" avec les deux fichiers consultables ou téléchargeables)
– Mam (breton), (ukrainien), (arménien), (québécois), (anglais, en régions), (américain, populaire.) Répétition du ‘a’, Ma-am, 'que moi', qui ne porte que moi.
– Mère (français) vient de Mer, 'beaucoup', ce qu'elle est en donnant la vie et son lait. Par les plus petites racines, et l’association de la même voyelle, 'e/é', Mé-er, lect. inv., 'celle qui a moi', une évidence.
– Mor (suédois) 'excessivement', ce qu'est toute mère pour son enfant ; ce terme suédois est prononcé Mour, 'beaucoup', ‘excessivement’; existe aussi Mors, Mor-sé, 'excessivement là'., ‘beaucoup là’. En vieille langue brito-israélite, les mots Mar, Mer, Mor, Meur, Mour, avaient le même sens, 'excessivement', 'beaucoup', parce qu'au temps ancien, ils étaient écrits Mr, sans les voyelles, qui variaient suivant le rythme prosodique.
– Maman (français) Ma-am-an, litt. 'que moi dans', Ma-aman, 'qu'ici', ‘que moi ici’, endroit où j'ai été conçu au sein de ma mère.
– Mama (italien), (portugais), (espagnol), (serbe), (letton), (danois), (russe), (bulgare), (occitan), (roumain), (tchèque), (croate) Ma-am-a, 'que moi fait', la créatrice ; Ma-ama, 'qu'ici', lieu de ma conception. Ce terme, le plus employé en Europa et sans doute utilisé par d'autres, vient de Mam.
– Mamo (polonais aussi Mama) vient de Mam, Ma-am-o, litt. 'moi que contient', qui ne 'contient que moi'.
– Madré (espagnol) Mad-ré, litt, 'bonne trop', 'trop bonne', sans commentaire.
– Madar (iranien) Mad-ar, 'le bon dessus', le lait de la mère et son affection.
– Mater (latin) Mat-er, lect. inv., 'celle qui a le bon', le lait nourrissant et son amour.
– Muter (allemand) Mù-té-er, lect. inv., 'celle qui a toi davantage'
– Mutti (autrichien) Mù-ti, 'davantage le logis', celle qui est davantage la maison, au sens de la famille, qu'elle crée.
– Ama (basque), Ama, 'ici', synonyme de Séin, ‘là moi’, ‘ici’.
– Annez (turc) An-nez, 'dans le proche', où je me blottis, ma mère.
– Aiti (finnois) A-i-ti, lect. inv., 'le logis elle fait', elle fait la maison, sens de la famille, c'est évidemment la mère.
– Eke (mongol) Ek-é, 'le descendant dans' ou ‘le possédant dans’, pour le nom évident de la mère. Nous avons beaucoup d'affinité en Mongolie à cause de Undour Guéguen, (voir livre 5) écrit là-bas Undur Ghéghen, même sens dans les deux traductions.
– Haem (hébreu) (H)-a-em, 'fait moi' ou ‘à moi’, une lapalissade pour mère.
– Ima, I-ma, 'elle que', lect. inv., 'qu'elle' ; ce 'mot composé' semble avoir servi à nommer la mère en hébreu et en arabe ancien, mais n'a encore de bon sens que par les petites racines de notre vieille langue brito-israélite, trait d'union entre ces deux peuples cousins aux liens rompus.
Trois racines anciennes Ti, Anna, Is
– Ti, Ty, (égyptien ancien) ‘logis’, la matrice où débute la vie embryonnaire du Pharaon ; cette racine se retrouve dans de nombreux noms de déesses et d’épouses royales.
– Athyiri lorsque Isis, ‘la base/base’, fut enceinte de Horùs, ‘notre haut’, elle porta le nom de Athyiri, ‘th’, thêta grec, vaut ‘t’, A-ti-ri, ‘fait le logis du roi’ ou ‘au logis du roi’. (Athyrie, Plutarque, Œuvres morales, chapitre 56.)
– Nepthys, (ou Nepthyis) th vaut ‘t’, et ‘i’ doublé et fusionné, Nep-ti-is, ‘sans logis base’, parce que cette déesse quitta sa demeure et son époux pour accompagner sa sœur Isis à la recherche de Tammùz, ‘hauts morceaux’, ceux de Osiris.
– Tyi, Thyi, ‘th’ vaut ‘t’, Ti-i, ‘le logis elle’, la grande reine dela XVIII° dynastie, mère de Akhenaton.
– Néfertiti, ‘e/é’ dans le phonème du ‘n’, (e)N-ef-er-ti-ti, ‘dans le ciel celle qui a le logis de la maison’, au ciel (dansla Nef) : le Pharaon, qu’elle portait, était semblable à Ra, et Par-Ra-on, lect. inv., ‘moi semblable à Ra’ !
– N’oublions pas la mère stellaire de la vie sur Terre, la sumérienne Tiamat, Ti-a-mat, ‘le logis au salutaire’, tous les noms propres de sa légende se traduisent par nos racines.
– Annaz (hittite) Anna-az, lect. inv., 'toi Anna’, répétition et fusion du ‘a’. Anna était la mère protectrice en au-delà ; elle y ressuscitait les héros dans son chaudron Keridwen, ‘haute maison blanche’, la Lune. Les Hittites sont pour nous les Hatti, Hatt-ti, 'logis des semences' (des demences de blé).
– Inanna pour les Sumériens, In-Aanna, ‘moi Anna’. Les chefs ajoutaient Anna en suffixe à leur nom, ex : En-mé-en-gal-Anna ou En-mé-en-lu-Anna, etc.
– Anat pour les Egyptiens, Ana-t(é), lect. inv., ‘toi Anna’, nourrice (céleste) de Ramsès II. De ce nom vient Anatolie, Ana-t(é)-oll-i, lect. inv., ‘elle toute toi Anna’.
– Anna-is (breton), (ou Annais) les deux principales déesses bretonnes ou brito-israëlite) sont ainsi associées, Is, ‘base’, Bretonne ou Brito-israélite, est la Eve biblique, Ev-é, lect. inv., ‘dans le ciel’ comme l’Egyptienne Nout. Is est très utilisé dans les prénoms, ex : Isabel, Is-a-bel, ‘la base au monde de El’ ; Mathis, Mat-is, ‘la bonne base’… suit une longue liste.
– Is (brito-israélite), (égyptien), (breton) : Is, Is, ’la base’, la mère originelle de la Civilisation du Gan Eden, ‘avec le blé dans’ et ‘avec dans la personne’, association homme/blé pour une autosuffisance alimentaire permettant le progrès.
– Isis, ‘base/base’, dans le symbolisme du triangle familial sacré, elle est ‘la base’, Osiris, la hauteur de l’angle droit et Horus, ‘l’hypoténuse’, ferme la triangulation.
– Artémis, (grec) Ar-té-(e)m-is, ‘sur toi ma base’, ‘ma base’ égale Sein, ‘là moi’ et, pour bien le signaler, ses statues sont couvertes de rangées de seins.
Notons l’emploi de Mam, Ma-am, ‘que moi’ majoritaire avec l’ajout des voyelles ‘a’ (sens actif) et, ‘o’ (contenance.)