Code

Langue-mère - britani

Aller au contenu

Langue-mère

    L’équipe ‘‘Britani terre d’éveil’’ vous offre gratuitement ( rubrique "Nos livres" ) la lecture, en fichier PDF, de son lexique ‘‘La mystérieuse langue mère’’. Scientifique et renouvelable, notre étude est confirmée par des dictionnaires de références.
   L’extraordinaire des traductions peut étonner et laisser nombre d’entre nous dans une humilité qu’il est temps de rejeter. Nous n’imaginons plus les possibilités de notre vieille langue, pourtant aucune autre ne peut l’égaler.
   Ce fait allait provoquer le quatrain d’un ami connu :

   «L’humilité individuelle est une grande vertu philosophique.
   L’humilité collective est une destructrice de civilisations.
   Le refus de reconnaître la trace linguistique de sa filiation,
   C’est, pour la deuxième fois, enterrer sa souche antique ! »
Edern.  
  Des revues de vulgarisation scientifique s'interrogent régulièrement sur l'existence d'une éventuelle langue-mère. Pour leurs articles, elles rencontrent des linguistes officiels oeuvrant pour des Etats établis, auxquels, par principe, ils sont inféodés pour des subsides qui permettent la poursuite de leurs recherches, - ''Ne mords pas la main qui te nourris !'' - Malheureusement ces spécialistes étudient d'après des bases qui ne flattent que les langues des anciens royaumes, injustes et chauvins envers les autres cultures, parfois devenues leurs régions. Ces dernières sont souvent antérieures aux cultures officielles et parfois elles sont même leur souche c'est le cas pour notre vieille filiation brito-israélite qui a peuplé Europa. Les méthodes de travail de ces spécialistes se sont donc éloignées de l'ancienne construction des mots et 'mots composés'. Les mêmes critiques apparaissent :

   ''Le Monde'' :Chasseurs de langues 1- Sur la piste d'une hypothétique langue mère
   Article publié le 17 Août 2005 Par Stéphane Foucart; Source : LE MONDE :Taille de l'article : 953 mots
   Extrait : Les " Homo-sapiens " parlaient-ils une langue évoluée avant de quitter leur berceau africain ? Les idiomes actuels dérivent-ils de ce proto-langage ? Les linguistes, mais aussi les préhistoriens et les généticiens, débattent de ces questions sur nos origines... FADAISES, absurdités, non-sens. Dans la communauté des linguistes, les travaux sur l'origine du langage et des langues ont longtemps été frappés du sceau de l'hérésie. Il suffit, pour s'en convaincre, de consulter les statuts de la société linguistique de Paris (SLP), fondée en 1866 : l'article 2 de son règlement dispose sans ambages "qu' aucune communication concernant soit l'origine du langage, soit la création d'une langue universelle " n'est...
   (Voir à ce sujet notre analyse antérieure, à la page 19, de ''La Mystérieuse langue-mère'' sur le site)

   Dernièrement, dans une de ces revues scientifiques, un article tentait un rapprochement entre les divers noms de 'Mère', la langue les traduisant ne pouvant être que la langue-mère. Nous vous proposons d'analyser le nom des mères ( sur la page "traductions" ), grâce à nos vieilles racines brito-israélites, et ainsi répondre aux philologues. ''Britani terre d'éveil'' est sans grand espoir de convaincre ces étymologistes, mais aimerait initier tous ceux qui souhaiteraient connaître la délicate subtilité que contient notre vieille langue. Avant, rappelons qu'une langue-mère n'apparaît pas sans raison, sa construction répondant toujours à des besoins et à des règles précises.
     Aujourd’hui française, inspiratrice de la  Révolution de 1789 par l’influence des clubs jacobins tenus par Dubernad, ancien maire de Morlaix,la Bretagne a laissé des traces de sa langue ancienne dans les pays formant l’Europe : Grande-Bretagne ; Néiderland, ‘n’est pas hauteur terre’ ; Germania, ‘elle fait la maison ci’, au regroupement de nos familles (maisons) ; Oster-réich, ‘le royaume contient la rivière’, (le Danube) ; notre dernière influence se fit en Russia, 'les rouges elle fait'. Ce court aperçu n’est pas exhaustif et tout aussi valable autour de la Méditerranée, ex : le Maroc, 'beaucoup ouest'.
  
  Quelques spécificités à la vieille langue : cinq particules *verbaient tous les mots : A, ‘fait’, actif ; E ‘est’, existence ; O, ‘contient’, contenance ; Ed, participe présent ; Et, participe passé. La voyelle ‘e’, léger ‘é’ est peu écrite, mais exprimée dans le phonème de la consonne. Voyelles et consonnes se doublent souvent et fusionnent, ex : Médecin, Med-ec-in, lect. inv., ‘moi possédant la moisson’ (de plantes médicinales) ou Médité, Med-d-ité, ‘la moisson à toi’, Med, ‘moisson’, vient de Mé-ed, ‘moi blé’, ou Tad, ‘père’, vient de Ta-ad, ‘toi de nouveau’. Nous retrouvons ce phénomène linguistique dans la principale racine du mot ‘Mère’ : Mam, qui vient de Ma-am, ‘que moi’, comme D’am et D’em, ‘à moi’, ‘a’ ou ‘e’ mutant selon la prosodie très importante en langue ancienne. Le ‘th’, thêta grec, vaut ‘T’ ; le ‘h’ est euphonique ; le ‘ù’ est accentué, sinon prononcé ‘ou’ ; il n’existe que ‘mes deux conventions’, digrammes Ý de voyelles, ex : Sein, Sé-in, 'là moi' ; lect. inv., lecture inversée ; nos dictionnaires interprètent et globalisent, car s’adressant à des Français.
Retourner au contenu